• Ennemis et maladies (partie1)

    Les érables du Japon peuvent subir les attaques de différents ennemis, parmi eux on peut noter, les pucerons, les acariens, les chenilles et les otiorhynques.

    A l'exception des otiorhynques, ces attaques ne sont pas, en principe, mortelles.

     

     

    Ennemis et maladies

     

    Les érables du Japon peuvent subir les attaques de différents ennemis, parmi eux on peut noter, les pucerons, les acariens, les chenilles et les otiorhynques.

    A l'exception des otiorhynques, ces attaques ne sont pas, en principe, mortelles.

     

    Pucerons:

      Pucerons noirsCes insectes piqueurs-suceurs se nourrissent de la sève qu'ils aspirent après avoir piqué au travers des tissus de la plante.

       Les attaques apparaissent au printemps, principalement sur les jeunes feuilles et les tiges tendres.

       La survie des arbres n'est pas remise en cause.

     

     

     

     

     

    Malgré tout, un problème d'ordre esthétique peut apparaître.

    En effet, les pucerons sécrètent un miellat sur lequel un champignon peut se développer.

    Il s'agit de la fumagine.

    Ce champignon peut se développer sur la totalité du limbe de la feuille et dans ce cas, donner un aspect inesthétique à la plante.

    Cela peut également nuire en partie à la photosynthèse, du fait que le film noir occasionné par le champignon, diminue l'accès de la lumière sur la feuille.

    Si on le désir, on peut lutter contre les pucerons avec du savon noir en pulvérisation, par applications régulières et répétées jusqu'à disparition définitive des pucerons.

    A l'heure actuelle, le jardinier amateur ne pourra trouver dans le commerce, qu'un produit chimique autorisé, il s'agit du pyrèthre, insecticide d'origine végétale qui ne fait pas de distinction entre les différents insectes et qui détruit donc les «mauvais» comme les «bons».

    Certains jardiniers réalisent des purins, décoctions ou extraits fermentés insectifuges, voire insecticides à l'aide de plantes sauvages ou cultivées.

    Là encore, ces «produits» ne sont pas sélectifs.

     

    Pucerons noirs 

      Chacun son point de vue, personnellement, j'ai pris le parti de ne pas lutter et de laisser faire les prédateurs naturels que peuvent être notamment, les oiseaux du jardin, mais aussi les coccinelles ou les syrphes.

     

     

     

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